Posted: Sat Jun 21, 2008 2:01 am
http://news.bbc.co.uk/sport2/hi/footbal ... 371359.stm
Croatia 1-1 Turkey (1-3 pens)
Highlights: Turkish penalty delight in Vienna
Vienna, 20 June 2008
Bilic's side may have gone out but he has won many admirers
Croatia boss Slaven Bilic put on a brave face after his side went out of Euro 2008 on penalties to Turkey.
Croatia were set to go through to the semi-finals after taking the lead just before the end of extra-time but Turkey levelled and won the shootout 3-1.
"My players put in a heroic performance and I can have no complaints about any of them," said Bilic.
"Penalties are a lottery and the players felt confident enough to take the spot kicks."
Ivan Klasnic had put Croatia in front but Semih Senturk lashed in an equaliser to send the quarter-final tie to spot-kicks.
Luca Modric and Ivan Rakitic each missed their penalties to seal Croatia's exit after a thrilling finale not in keeping with the rest of the game.
"I thought that it was finished, that we had won and then in a flash this fantastic goal by Semih," added Bilic, whose side are in the same group as England for the 2010 World Cup.
"After that, it was the drama of penalties. Oh well life goes on. Tomorrow is another day. We will now get back into the groove in the World Cup qualifiers."
The pain of this defeat will stay with me for a long time
Croatia coach Slaven Bilic
He added: "I want to congratulate both teams for a great game of football.
"This match shows why it's the most dramatic and most popular game in the world.
"I congratulate Turkey but we have beaten beaten better opponents and the last two minutes I cannot begin to describe, both our goal and theirs and then penalties.
"The pain of this defeat will stay with me for a long time.
"It will haunt us forever."
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OLDURMEYEN ALLAH OLDURMUYOR DEMIS FRANSIZLAR
http://foot2008.lequipe.fr/breves2008/2 ... e_Dev.html
La Turquie est immortelle
Semih Sentürk (à droite) dans le rôle du tueur silencieux. (L'Equipe)Vendredi à Vienne, la Turquie est restée fidèle à sa légende naissante d'équipe qui ne meurt jamais. Après avoir résisté durant près de deux heures à la Croatie, elle a encaissé un but à la 119e minute avant d'égaliser à la dernière seconde et de voir son adversaire s'effondrer aux tirs aux buts (1-1, 3 t.a.b. à 1). Présents pour la première fois dans le dernier carré de l'Euro, six ans après leur demi-finale mondiale, les Turcs affronteront mercredi l'Allemagne, qui aura eu un jour de repos en plus.
Les quarts de finale sont un temps que ceux qui ont vu le premier tour ne peuvent pas comprendre. Un moment où Cristiano Ronaldo est un joueur comme les autres, où l'Allemagne retrouve la foi, la gnac et les demi-finales, où la Croatie, révélation du début du tournoi, n'impressionne plus grand monde...
Dans ce renversement des valeurs qu'est le passage en phase finale, la Turquie, elle, n'a pas changé, avec son caractère et sa conviction que chaque seconde vaut une autre seconde, fût-elle la dernière. Et cela malgré une cascade d'absences : Volkan, Aurelio, Servet, autant de titulaires habituels. C'est cette constance qui fait sa réussite et la Grèce n'en disait pas moins en 2004 avec ses certitudes défensives et ses scénarii invariables.
On ne dit pas non plus que la Turquie est la nouvelle favorite de l'Euro. D'un parce que l'Allemagne a trop bien maîtrisé son propre quart, de deux parce qu'il ne doit pas rester beaucoup d'énergie dans le moteur turc, et de trois parce que la théorie du miracle permanent n'existe pas en soi. Elle a surgi de l'enchaînement des succès contre les Suisses (de 0-1 à 2-1) et les Tchèques (de 0-2 à 3-2) et a acquis de la consistance ce vendredi mais elle est faite pour disparaître comme elle venue. Reste à savoir quand.
Le long chapelet des occasions croates
Il n'empêche, dans sa folie, la réussite turque a quelque chose de captivant quand on finit par s'y habituer. Elle a proprement assassiné les Croates au moment de disputer la séance des tirs aux buts. Trois des quatre premiers tireurs, et pas des cancres, ont tiré à côté (Modric, Ratikic) ou ont vu leur tentative arrêtée (Petric) par le vieux Rüstü (37 ans), remplaçant de Volkan, suspendu, jamais vraiment rassurant mais qui a assuré de quoi avoir une statue à Istanbul à côté de celle de Fatih Terim. Dans leur tête devait repasser comme un cauchemar, ou un tir de Wiltord dans l'esprit d'un Italien, cet improbable boulet lancé quelques minutes auparavant par Semih Sentürk.
Rüstu venait d'effectuer un ultime dégagement quand le joueur du Fener a récupéré le ballon à trente mètres, plein axe, et l'a frappé entre trois joueurs croates, attrapant la lucarne. M. Rosetti n'a même pas remis le ballon en jeu. Il l'avait fait une poignée de secondes plus tôt après qu'Ivan Klasnic (déjà buteur contre la Pologne) a profité d'une sortie totalement ratée de de Rüstü pour propulser le ballon de la tête dans le but.
Les larmes de Srna, d'une désolation comme on en voit rarement sur un terrain de sport, resteront le symbole de cette défaite croate. L'explication, elle, a duré deux heures car la Croatie aurait pu gagner ce quart cent fois. Passé le premier quart d'heure, où les Turcs les ont pressés très haut et très fort, jusqu'à frôler l'ouverture du score sur une frappe d'Hamit Altintop (9e), les Croates ont dominé l'essentiel du match. Dominé n'est pas le mot juste : ils ont profité du fait qu'au bout d'une demi-heure, les Turcs ont compris qu'ils devraient défendre plus bas pour tenir. Cela leur a permis de s'offrir de belles occasions, une tête sur la transversale d'Olic (19e), un pointu de Kranjcar (56e), un coup franc enveloppé de Srna (84e), autant de regrets et la liste est loin d'être exhaustive. Mais ils ont aussi perdu nombre de ballons bêtement, comme tirés vers le bas par une équipe sérieuse mais sans aucun génie. Au moins les Turcs ont su relever la tête en prolongation, notamment avec une frappe de Tuncay (102e). Ce n'était pas la fantasia non plus mais ça leur a permis de rester dans le match jusqu'au bout. On en comprend mieux l'importance. X.C.
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MARCA DA ULAN NASIL YANI DEMIS
http://www.marca.com/marcador/futbol/20 ... s/cro_tur/
La flor de Turquía es un jardín
Así lo vivimos Noticias Calendario 1-0 Klasnic (119')
2-2 Srna (t.p.)
1-1 Semih Senturk (t.p.)
1-2 Arda Turan (t.p.)
2-3 Semih Senturk (t.p.)
2-4 Hamit Altintop (t.p.)
Partido de cuartos de final de la Eurocopa de fútbol disputado en el estadio Ernst Happel de Viena ante 51.428 espectadores. Lleno.
Por MANUEL MALAGÓN
Turquía volvió a obrar un milagro para colarse en las semifinales de la Eurocopa. Tras el gol de Croacia en el minuto 119, lograron empatar en el descuento de la prórroga tras un centro en que hubo una posible falta. Después, en los penaltis, con Croacia hundida, los turcos se mostraron mucho más acertados. El miedo se apoderó de los croatas y Turquía se coló en semifinales, donde espera Alemania.
Primeros penaltis del campeonato. En el Croacia-Turquía se vivió la primera prórroga y los primeros penaltis del torneo, y cómo se vivieron. Más emoción, difícil
¿Habrá agotado Turquía su suerte? Lo de los turcos merece ser mirado. Han dado la vuelta a sus tres últimos partidos en los últimos minutos. Aparte de suerte, hay mucha fe
Muchas bajas en semifinales. Turquía contará con las bajas por sanción de Tuncay, Arda Turan y Emre Asik. Además, Nihat se retiró muy tocado en la prórroga
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INGILIZ SKY SPORTS TURK LOKUMU DEMIS BASKA BIR SEY DEMEMIS
http://www.skysports.com/football/match ... 84,00.html
Turkish delight in shoot-out
Underdogs prevail 3-1 on penalties after dramatic end to quarter-final
Last updated: 20th June 2008
Turkey set up a meeting with Germany in the Euro 2008 semi-finals after beating Croatia on penalties after an extraordinary climax to the last-eight showdown in Vienna.
Rustu Recber saved Mladen Petric's spot-kick in the shoot-out, after Luka Modric and Ivan Rakitic had already missed, to send Turkey into the last four of the European Championship for the first time.
Croatia enjoyed the better chances during normal time and should have taken the lead in the first half when Ivica Olic hit the crossbar from close range following excellent work by Modric.
Towards the end of the second half, Turkey keeper Rustu produced a flying one-handed save to turn away Darijo Srna's free-kick.
Turkey created little at the opposite end, with Mehmet Topal shaving the post with a long-range drive and Tuncay Sanli flashing a 25-yard drive narrowly wide.
With a minute to go, Modric beat Rustu to a loose ball on the by-line and clipped in a cross which substitute Ivan Klasnic headed home as the Turkey keeper scrambled back.
But in stoppage-time, Rustu's huge punt downfield fell kindly at the feet of Semih Senturk just inside the box and he smashed a fierce drive into the top corner via a slight deflection.
Tottenham-bound Modric missed the first penalty and, after Turkey converted all three of their spot-kicks, Petric's attempt was parried away by Rustu to book a semi-final date with Germany next Wednesday.
Early danger
Turkey had reached the last eight with back-to-back comebacks, against Switzerland then famously against the Czech Republic - and they looked in danger of falling behind early to Bilic's men.
Fatih Terim's side were hit by injuries and suspensions, and Croatia almost took advantage of unfamiliarity in the Turkish defence early on.
Veteran goalkeeper Rustu, deputising for the banned Volkan Demirel, failed to clear his lines and Rakitic raced down the left to cross for Srna - only for Hakan Balta to scramble clear when an open goal beckoned.
Modric crossed to the far post in the 19th minute, with Olic thudding the crossbar when he had most of Rustu's goal to aim for. The finish span to Niko Kranjcar but the Portsmouth midfielder could not tame the ball with his head.
Tuncay Sanli earned a yellow card and a one-match suspension for elbowing Niko Kovac, while he appealed for a penalty after Josip Simunic appeared to impede him in the area.
Turkey got even closer to Stipe Pletikosa's goal when Mehmet grazed the post with a powerful 35-yard drive seven minutes before the break.
Penalty drama
After the restart Arda joined Tuncay in the referee's book, also earning him a ban.
Croatia almost pounced on Rustu's hesitancy early in the second half when he failed to collect a long ball, but Olic was unable to get power on his header.
Rustu was down sharply, however, when Modric released Kranjcar and the midfielder poked towards goal.
Srna's free-kick was tipped over by Rustu and when the veteran blocked another effort from Olic, extra-time was inevitable.
Klasnic thought he had won it when he headed in Modric's cross after more Rustu hesitation in the 119th minute, but when Semih found the top corner with a deflected drive, the drama of penalties unfolded.
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TD'siz Sampiyon Galatasaray
Sistemsiz Sampiyon Turkiye
Bizi ne guzel anlatiyor
Cok ilginc bir ulkeyiz
Inanilr gibi degiliz
Croatia 1-1 Turkey (1-3 pens)
Highlights: Turkish penalty delight in Vienna
Vienna, 20 June 2008
Bilic's side may have gone out but he has won many admirers
Croatia boss Slaven Bilic put on a brave face after his side went out of Euro 2008 on penalties to Turkey.
Croatia were set to go through to the semi-finals after taking the lead just before the end of extra-time but Turkey levelled and won the shootout 3-1.
"My players put in a heroic performance and I can have no complaints about any of them," said Bilic.
"Penalties are a lottery and the players felt confident enough to take the spot kicks."
Ivan Klasnic had put Croatia in front but Semih Senturk lashed in an equaliser to send the quarter-final tie to spot-kicks.
Luca Modric and Ivan Rakitic each missed their penalties to seal Croatia's exit after a thrilling finale not in keeping with the rest of the game.
"I thought that it was finished, that we had won and then in a flash this fantastic goal by Semih," added Bilic, whose side are in the same group as England for the 2010 World Cup.
"After that, it was the drama of penalties. Oh well life goes on. Tomorrow is another day. We will now get back into the groove in the World Cup qualifiers."
The pain of this defeat will stay with me for a long time
Croatia coach Slaven Bilic
He added: "I want to congratulate both teams for a great game of football.
"This match shows why it's the most dramatic and most popular game in the world.
"I congratulate Turkey but we have beaten beaten better opponents and the last two minutes I cannot begin to describe, both our goal and theirs and then penalties.
"The pain of this defeat will stay with me for a long time.
"It will haunt us forever."
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OLDURMEYEN ALLAH OLDURMUYOR DEMIS FRANSIZLAR
http://foot2008.lequipe.fr/breves2008/2 ... e_Dev.html
La Turquie est immortelle
Semih Sentürk (à droite) dans le rôle du tueur silencieux. (L'Equipe)Vendredi à Vienne, la Turquie est restée fidèle à sa légende naissante d'équipe qui ne meurt jamais. Après avoir résisté durant près de deux heures à la Croatie, elle a encaissé un but à la 119e minute avant d'égaliser à la dernière seconde et de voir son adversaire s'effondrer aux tirs aux buts (1-1, 3 t.a.b. à 1). Présents pour la première fois dans le dernier carré de l'Euro, six ans après leur demi-finale mondiale, les Turcs affronteront mercredi l'Allemagne, qui aura eu un jour de repos en plus.
Les quarts de finale sont un temps que ceux qui ont vu le premier tour ne peuvent pas comprendre. Un moment où Cristiano Ronaldo est un joueur comme les autres, où l'Allemagne retrouve la foi, la gnac et les demi-finales, où la Croatie, révélation du début du tournoi, n'impressionne plus grand monde...
Dans ce renversement des valeurs qu'est le passage en phase finale, la Turquie, elle, n'a pas changé, avec son caractère et sa conviction que chaque seconde vaut une autre seconde, fût-elle la dernière. Et cela malgré une cascade d'absences : Volkan, Aurelio, Servet, autant de titulaires habituels. C'est cette constance qui fait sa réussite et la Grèce n'en disait pas moins en 2004 avec ses certitudes défensives et ses scénarii invariables.
On ne dit pas non plus que la Turquie est la nouvelle favorite de l'Euro. D'un parce que l'Allemagne a trop bien maîtrisé son propre quart, de deux parce qu'il ne doit pas rester beaucoup d'énergie dans le moteur turc, et de trois parce que la théorie du miracle permanent n'existe pas en soi. Elle a surgi de l'enchaînement des succès contre les Suisses (de 0-1 à 2-1) et les Tchèques (de 0-2 à 3-2) et a acquis de la consistance ce vendredi mais elle est faite pour disparaître comme elle venue. Reste à savoir quand.
Le long chapelet des occasions croates
Il n'empêche, dans sa folie, la réussite turque a quelque chose de captivant quand on finit par s'y habituer. Elle a proprement assassiné les Croates au moment de disputer la séance des tirs aux buts. Trois des quatre premiers tireurs, et pas des cancres, ont tiré à côté (Modric, Ratikic) ou ont vu leur tentative arrêtée (Petric) par le vieux Rüstü (37 ans), remplaçant de Volkan, suspendu, jamais vraiment rassurant mais qui a assuré de quoi avoir une statue à Istanbul à côté de celle de Fatih Terim. Dans leur tête devait repasser comme un cauchemar, ou un tir de Wiltord dans l'esprit d'un Italien, cet improbable boulet lancé quelques minutes auparavant par Semih Sentürk.
Rüstu venait d'effectuer un ultime dégagement quand le joueur du Fener a récupéré le ballon à trente mètres, plein axe, et l'a frappé entre trois joueurs croates, attrapant la lucarne. M. Rosetti n'a même pas remis le ballon en jeu. Il l'avait fait une poignée de secondes plus tôt après qu'Ivan Klasnic (déjà buteur contre la Pologne) a profité d'une sortie totalement ratée de de Rüstü pour propulser le ballon de la tête dans le but.
Les larmes de Srna, d'une désolation comme on en voit rarement sur un terrain de sport, resteront le symbole de cette défaite croate. L'explication, elle, a duré deux heures car la Croatie aurait pu gagner ce quart cent fois. Passé le premier quart d'heure, où les Turcs les ont pressés très haut et très fort, jusqu'à frôler l'ouverture du score sur une frappe d'Hamit Altintop (9e), les Croates ont dominé l'essentiel du match. Dominé n'est pas le mot juste : ils ont profité du fait qu'au bout d'une demi-heure, les Turcs ont compris qu'ils devraient défendre plus bas pour tenir. Cela leur a permis de s'offrir de belles occasions, une tête sur la transversale d'Olic (19e), un pointu de Kranjcar (56e), un coup franc enveloppé de Srna (84e), autant de regrets et la liste est loin d'être exhaustive. Mais ils ont aussi perdu nombre de ballons bêtement, comme tirés vers le bas par une équipe sérieuse mais sans aucun génie. Au moins les Turcs ont su relever la tête en prolongation, notamment avec une frappe de Tuncay (102e). Ce n'était pas la fantasia non plus mais ça leur a permis de rester dans le match jusqu'au bout. On en comprend mieux l'importance. X.C.
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MARCA DA ULAN NASIL YANI DEMIS
http://www.marca.com/marcador/futbol/20 ... s/cro_tur/
La flor de Turquía es un jardín
Así lo vivimos Noticias Calendario 1-0 Klasnic (119')
2-2 Srna (t.p.)
1-1 Semih Senturk (t.p.)
1-2 Arda Turan (t.p.)
2-3 Semih Senturk (t.p.)
2-4 Hamit Altintop (t.p.)
Partido de cuartos de final de la Eurocopa de fútbol disputado en el estadio Ernst Happel de Viena ante 51.428 espectadores. Lleno.
Por MANUEL MALAGÓN
Turquía volvió a obrar un milagro para colarse en las semifinales de la Eurocopa. Tras el gol de Croacia en el minuto 119, lograron empatar en el descuento de la prórroga tras un centro en que hubo una posible falta. Después, en los penaltis, con Croacia hundida, los turcos se mostraron mucho más acertados. El miedo se apoderó de los croatas y Turquía se coló en semifinales, donde espera Alemania.
Primeros penaltis del campeonato. En el Croacia-Turquía se vivió la primera prórroga y los primeros penaltis del torneo, y cómo se vivieron. Más emoción, difícil
¿Habrá agotado Turquía su suerte? Lo de los turcos merece ser mirado. Han dado la vuelta a sus tres últimos partidos en los últimos minutos. Aparte de suerte, hay mucha fe
Muchas bajas en semifinales. Turquía contará con las bajas por sanción de Tuncay, Arda Turan y Emre Asik. Además, Nihat se retiró muy tocado en la prórroga
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INGILIZ SKY SPORTS TURK LOKUMU DEMIS BASKA BIR SEY DEMEMIS
http://www.skysports.com/football/match ... 84,00.html
Turkish delight in shoot-out
Underdogs prevail 3-1 on penalties after dramatic end to quarter-final
Last updated: 20th June 2008
Turkey set up a meeting with Germany in the Euro 2008 semi-finals after beating Croatia on penalties after an extraordinary climax to the last-eight showdown in Vienna.
Rustu Recber saved Mladen Petric's spot-kick in the shoot-out, after Luka Modric and Ivan Rakitic had already missed, to send Turkey into the last four of the European Championship for the first time.
Croatia enjoyed the better chances during normal time and should have taken the lead in the first half when Ivica Olic hit the crossbar from close range following excellent work by Modric.
Towards the end of the second half, Turkey keeper Rustu produced a flying one-handed save to turn away Darijo Srna's free-kick.
Turkey created little at the opposite end, with Mehmet Topal shaving the post with a long-range drive and Tuncay Sanli flashing a 25-yard drive narrowly wide.
With a minute to go, Modric beat Rustu to a loose ball on the by-line and clipped in a cross which substitute Ivan Klasnic headed home as the Turkey keeper scrambled back.
But in stoppage-time, Rustu's huge punt downfield fell kindly at the feet of Semih Senturk just inside the box and he smashed a fierce drive into the top corner via a slight deflection.
Tottenham-bound Modric missed the first penalty and, after Turkey converted all three of their spot-kicks, Petric's attempt was parried away by Rustu to book a semi-final date with Germany next Wednesday.
Early danger
Turkey had reached the last eight with back-to-back comebacks, against Switzerland then famously against the Czech Republic - and they looked in danger of falling behind early to Bilic's men.
Fatih Terim's side were hit by injuries and suspensions, and Croatia almost took advantage of unfamiliarity in the Turkish defence early on.
Veteran goalkeeper Rustu, deputising for the banned Volkan Demirel, failed to clear his lines and Rakitic raced down the left to cross for Srna - only for Hakan Balta to scramble clear when an open goal beckoned.
Modric crossed to the far post in the 19th minute, with Olic thudding the crossbar when he had most of Rustu's goal to aim for. The finish span to Niko Kranjcar but the Portsmouth midfielder could not tame the ball with his head.
Tuncay Sanli earned a yellow card and a one-match suspension for elbowing Niko Kovac, while he appealed for a penalty after Josip Simunic appeared to impede him in the area.
Turkey got even closer to Stipe Pletikosa's goal when Mehmet grazed the post with a powerful 35-yard drive seven minutes before the break.
Penalty drama
After the restart Arda joined Tuncay in the referee's book, also earning him a ban.
Croatia almost pounced on Rustu's hesitancy early in the second half when he failed to collect a long ball, but Olic was unable to get power on his header.
Rustu was down sharply, however, when Modric released Kranjcar and the midfielder poked towards goal.
Srna's free-kick was tipped over by Rustu and when the veteran blocked another effort from Olic, extra-time was inevitable.
Klasnic thought he had won it when he headed in Modric's cross after more Rustu hesitation in the 119th minute, but when Semih found the top corner with a deflected drive, the drama of penalties unfolded.
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Bizi ne guzel anlatiyor
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